Les enfants

  • Toutes les organisations nationales et internationales reconnaissent qu’Haïti l’un des pays de l’Hémisphère Occidentale ayant le taux le plus élevé d’enfants victimes de l'insécurité alimentaire. En Haïti, particulièrement dans les zones rurales, La malnutrition touche plus particulièrement les enfants et les femmes. Chez l’enfant, on estime que la nutrition pendant la période de la conception à 2 ans est cruciale pour garantir un développement normal. Quant aux femmes enceintes et allaitantes, elles sont particulièrement exposées aux carences, et notamment à l’anémie. En Haïti, le problème d’insécurité alimentaire et de sous-nutrition ne se limite pas uniquement aux petits enfants, mais aussi à ceux-là qui sont en âge de scolarisation et même pendant l’adolescence. La carence alimentaire est un facteur endogène qui influe sur la capacité générale et spécifique des enfants d'apprendre avant et après la scolarisation.>>>Lire...

Les femmes et les vieillards

  • D'après l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO), “les femmes paysannes produisent de 60 à 80 pour cent des aliments dans la plupart des pays en développement et sont responsables de la moitié de la production alimentaire mondiale. Elles jouent un rôle clé de productrices et pourvoyeuses de vivres et leur contribution vitale à la sécurité alimentaire”. Dans cette même optique, le programme alimentaire mondial(PAM) rapporte que 60% des personnes qui ont faim dans le monde sont des femmes. Une alimentation insuffisante des femmes et des filles signifie qu’elles sont plus susceptibles de souffrir d’anémie, accroissant ainsi leur risque d’hémorragie et de décès pendant et après l’accouchement: Malheureusement en Haïti, la société et les dirigeants de l’Etat ne reconnaissent pas encore l’importance de la sécurité alimentaire pour les femmes, les filles et la société haïtienne dans sa totalité.>>>Lire,,,

Les agriculteurs

 

D'après l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO), “les femmes paysannes produisent de 60 à 80 pour cent des aliments dans la plupart des pays en développement et sont responsables de la moitié de la production alimentaire mondiale. Elles jouent un rôle clé de productrices et pourvoyeuses de vivres et leur contribution vitale à la sécurité alimentaire”. Dans cette même optique, le programme alimentaire mondial(PAM) rapporte que 60% des personnes qui ont faim dans le monde sont des femmes. Une alimentation insuffisante des femmes et des filles signifie qu’elles sont plus susceptibles de souffrir d’anémie, accroissant ainsi leur risque d’hémorragie et de décès pendant et après l’accouchement: Malheureusement en Haïti, la société et les dirigeants de l’Etat ne reconnaissent pas encore l’importance de la sécurité alimentaire pour les femmes, les filles et la société haïtienne dans sa totalité.>>>Lire>>>